C’est un couple de martiens qui arrive sur terre et se dirige vers une maison isolée. Le couple secoue la porte, tire sur les volets, tant et si bien que les habitants viennent leur ouvrir. Très vite, les terriens s'aperçoivent que les visiteurs sont très amicaux et les invitent à passer la nuit chez eux. A l'issue du dîner, les martiens expriment le désir d'aller se reposer. Eh bien dit la maîtresse cela ne pose pas de problème: nous avons deux chambres, nous garderons la nôtre et vous occuperez la chambre d'amis.Excusez-nous, remarque le martien, mais c'est impossible; chez nous le mari ne partage la couche de sa femme que lorsqu’il n’y en a pas d’autres, dès lors...Qu'à cela ne tienne, reprend le terrien, nous sommes si différents qu'il n'y a aucun inconvénient à ce que vous passiez la nuit avec mon épouse et moi avec la vôtre...et ainsi fut fait.Lorsque le martien, arrivé dans la chambre, se débarrasse de ses vêtements, madame ne peut s'empêcher de jeter un regard furtif et tout a coup, s'exclame : « Mon Dieu! Qu’il est petit!... »Et en effet, tout l'avenir du martien se situe dans un tout petit cylindre de deux centimètres de longueur et de la grosseur d'un crayon. Ne vous méprenez pas, madame, dit le martien, et, saisissant son oreille gauche, à la manière d'une minuterie, il tourne consciencieusement : clic, clic, clic...et devant la dame, stupéfaite, à chaque cran, le petit cylindre s'allonge, jusqu'à atteindre une longueur tout a fait respectable. C’est déjà beaucoup mieux remarque la maîtresse de maison, mais... Oui, oui, intervient le martien, un instant... et de tripoter son oreille droite avec la même tranquille assurance...et le petit cylindre grossit, grossit... !Le lendemain matin, le martien et la terrienne, épanouis des ébats de la nuit, prennent le petit déjeuner. Leur attitude respire la joie de vivre, et la bonne humeur est au rendez-vous. Soudain, le terrien apparaît sur l'escalier qui mène aux chambres. Les cheveux hirsutes, les yeux rouges et gonflés, son épouse s'empresse : « Que se passe-t-il chéri, tu n'as pas bien dormi ? »
Citations de JACQUES CHIRACIl y a déjà tellement de jeunes qui sont vieux que ce n'est pas la peine de rajouter des vieux qui veulent jouer les jeunes. . . . Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre !
(là c'est une pousse de muguet euh.....on verra si on a quelques clochettes)
HISTOIRE DE CITRON ET MANDARINE
citron ou mandarine ? C'est la fille mandarine qu'est invitée à la surprise partie donnée par le fils citron.
Vincent Kluska, salarié chez un concessionnaire automobile en banlieue d'Annemasse, a fait cette découverte mardi midi alors qu'il préparait son déjeuner.
Bonne question
Une maman chameau et son fils discutent ensemble lorsque le bébé chameau demande à sa mère : Maman, pourquoi est-ce que je possède trois orteils à chaque pied ?Sa mère répond: Eh bien fiston, lorsque nous traversons le désert, ses orteils nous permettent de marcher dans le sable sans que nous nous enfoncions.Un peu plus tard, le petit chameau demande à sa mère : Maman, pourquoi est-ce que je possède d’aussi grandes paupières ? C’est pour empêcher le sable d’aller dans tes yeux lorsque tu voyages dans le désert. Ah ok, merci maman, répondit le petit chameau. Après un court moment, le fiston chameau se retourne vers sa mère et lui demande : Maman, pourquoi est-ce que j’ai ces grosses bosses sur le dos ?La mère, commençant à être agacée par toutes ses questions répondit quand même à son fils : C’est pour emmagasiner de l’eau et ainsi lors des traversées dans le désert, te permettre de passer delongues périodes sans boire. C’est formidable maman, donc nous possédons trois orteils pour ne pas s’enfoncer dans le sable, de grosses paupières pour ne pas avoir de sable dans les yeux et des bosses sur le dos pour emmagasiner de l’eau, mais maman... Oui mon garçon ? Veux-tu bien me dire ce que l’on fait au zoo de Granby ?